Une grande photographe : Dorothea Lange

<br /> <br /> Bonjour pour commencer (la moindre des civilités)<br /> <br /> <br /> Il me semble que vous construisez votre commentaire sur une tonalité pour le moins abrupte, agressive et anonyme. Chacun ses goûts. De plus vous ne semblez pas très positif et j'use là d'un doux<br /> euphémisme.<br /> <br /> <br /> Vous n'aimez pas les photographies de Dorothea Lange. C'est votre droit le plus strict mais ne mettez pas en cause l'objectivité d'une reporter photographe entièrement dévouée à la cause de ceux<br /> qui souffrent, s'il vous plaît ! Les paysans sont des personnes (mes grands parents en faisaient partie) et en tant que personnes ils sont dignes d'intérêt et dignes tout court et tentent de se<br /> montrer sous leur meilleur jour. Les photos le prouvent avec évidence. Les clichés en noir et blanc magnifient les êtres et les choses, il n'y a donc rien d'extraordinaire à ce que les stigmates<br /> de la misère et de la souffrance y soient moins apparents que lorsque l'on utilise la couleur. De plus la technologie photographique de l'époque, et en particulier les émulsions argentiques peu<br /> sensibles, n'autorisaient que des photos posées. Vous devriez vous informer avant que d'écrire n'importe quoi !!!!<br /> <br /> <br /> Quant à ma culture en matière économique elle vaut sans doute bien la votre, lisez les articles qui lui sont consacrés sur le blog. Je n'ai jamais dit que les états n'étaient pas en cause dans la<br /> crise économique de 29 et dans celle qui nous touche actuellement. Vous semblez jouer avec les mots. La crise est le fait de la spéculation. La dette est spéculative et vous l'avez bien écrit !<br /> Les états sont endettés auprès de qui ? Des spéculateurs de tous poils bien évidemment. Je dirais donc que les crises sont le reflet d'une société capitaliste qui spécule sur le dos de ceux qui<br /> travaillent au sens réel du terme et qui bien sûr paient leurs impôts (entre autres les intérêts des emprunts d'état) et ne planquent pas leur argent en Suisse ou dans d'autres paradis fiscaux.<br /> Les états participent grandement à cet état de fait par leur fort taux d'endettement, bien évidemment.<br /> <br /> <br /> Point final<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Petite information issue de Wikipédia : "Les années 1920 marquent une période de forte croissance aux États-Unis et en Europe. Ainsi, entre 1921 et 1929, la production industrielle augmente de 50 %. Le « boom » boursier n'apparaît donc pas ex nihilo. Mais il est trop rapide : la hausse annuelle des cours pendant la même période est de 18 %, soit une hausse totale de plus<br /> de 300 %. Selon l'économiste Jacques Brasseul, « le cours des titres augmente plus que les profits des entreprises, qui eux-mêmes augmentent<br /> plus que la production, la productivité, et enfin plus que les salaires, bons derniers dans cette course. » Un élément spéculatif se développe, puis devient prépondérant à partir de 1928,<br /> date où le cabinet Charles Merrill (aujourd'hui Merrill Lynch) recommande de ne plus s'endetter davantage pour acheter des actions, et indique : « Sans que cela constitue une<br /> recommandation de vente, le moment est opportun pour se libérer de ses crédits ». Ce ne sont en effet plus les dividendes qui attirent les investisseurs, mais la possibilité de revendre avec<br /> une importante plus-value, beaucoup de titres sont achetés à crédit à cette fin.<br /> <br /> <br /> L'économie, elle, montre des signes de faiblesse dès le début 1929 : ainsi, la production automobile chute de 622 000 véhicules à 416 000 entre mars et septembre. La production industrielle, elle, recule de 7 % entre<br /> mai et octobre. Ce ralentissement est en partie dû à un phénomène d'asphyxie : les capitaux disponibles accourent à la bourse plutôt que vers l'économie « réelle ».<br /> <br /> <br /> Entre mars 1926 et octobre 1929, le cours des actions augmente de 120 %. Le 3 septembre, l'indice Dow Jones atteint 381,17, son plus haut niveau avant 1954. Le 16 octobre, l'économiste Irving Fisher déclare : « Stock prices have reached what looks like a permanently high<br /> plateau » (« Les cours ont atteint ce qui semble être un plateau perpétuellement élevé »)."<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> _____<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Voilà<br /> <br /> <br /> Continuez à agresser par vos écrits les personnes qui tentent de rédiger des articles sur un blog, elles apprécieront, sans aucun doute.    <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />